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28/04/2017

Madame LE PEN "à la ramasse" sur la pêche

marine le pen, brexit, pêche, françois marc,sénateur françois marc,finistère,bretagne,pêche,marine le pen,emmanuel macron,présidentielles 2017,sénat,brexitLe JT de France 2 a présenté ce jeudi 27 avril à 20h00 de "belles" images de Madame LE PEN embarquant aux aurores sur le bateau d’un militant du Front National, pêcheur de son état. Dans cette longue séquence consacrée au sujet de la pêche, il n’a malheureusement à aucun moment été question du sujet d’inquiétude essentiel des pêcheurs français aujourd’hui, à savoir celui des conséquences dramatiques du BREXIT.

Le sujet est si important que le Sénat avait jugé opportun de réunir le 4 avril en urgence (hors session) un groupe d’audition du Comité National des pêches maritimes et des élevages marins (CNPMEM). Deux chiffres essentiels avaient été à cet égard rapportés le 4 avril dernier sur ce blog :

  1. La pêche française dépend à 24% des zones de pêche britanniques.
  2. En cas de BREXIT, les revenus de la flottille européenne pourraient chuter de 50%.

Inutile de dire que les thèses de Madame LE PEN en faveur du BREXIT et d’un repli national généralisé en Europe vont exactement à l’inverse des intérêts de la pêche française aujourd’hui ! En voulant réduire à néant la réglementation européenne sur ce sujet comme sur d’autres, Madame LE PEN apparait implicitement favorable à une réduction dramatique de nos zones de pêche en mer. Impensable !

Le plus étrange dans cette affaire c’est que pour ce sujet N°1 du JT de 20h00 de cette chaîne publique "d’informations", aucune question n’ait été posée à la candidate du Front National sur ce qui est le principal et quasiment unique sujet de préoccupation de la pêche française en ce moment !

Triste spectacle télévisuel…

Sur le même sujet :

Brexit : les pêcheurs français en alerte

27/04/2017

Pourquoi il est impératif d'aller voter… et de voter Macron le 7 mai...

18058066_1197081127067728_6381863700337856449_n.jpgCréditée dans les sondages d'un score d'au moins 40% au second tour, Mme LE PEN n'est plus très loin des portes du pouvoir en France !

Qui aurait pu penser au lendemain de la 2ème guerre mondiale (50 millions de morts) que, 70 ans après, les Français se laisseraient aller à voter à un score si élevé pour la représentante d’un courant politique de sensibilité fasciste et xénophobe ?

Quels regards suppliants nous réserveraient aujourd'hui ces millions de victimes du nazisme s'ils étaient en capacité de manifester leurs sentiments à l'égard de notre monde déboussolé ?

A n'en pas douter, notre responsabilité individuelle et collective est interpellée de manière cruciale... Car, on ne peut l'ignorer, les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets !! Les idéologies de haine conduisent inévitablement à la guerre...

J'incite par conséquent chacun à bien mesurer les risques pour notre pays d'un vote le Pen mais aussi les risques de l'abstention... Car une abstention record serait une chance considérable donnée au Front National d'asservir durablement notre pays. Il est donc essentiel que chacun aille voter le 7 mai.

Voter Macron est la seule façon de dire non au Front National et à son idéologie inacceptable. Dire NON au vote LE PEN, c'est dire NON à la haine de l'autre, au racisme, au populisme nationaliste.

Le 8 mai, nous rendrons comme chaque année hommage, devant nos monuments aux morts, aux victimes du nazisme...  Mais dès le 7 mai, en se rendant aux urnes, chacun devra déjà avoir à l'esprit le sacrifice considérable de nos familles il y a seulement quelques dizaines d'années... La paix doit rester notre bien commun.

Votons tous MACRON le 7 mai.

25/06/2015

"Brest Tech +" obtient le précieux label

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 Entretien à Bercy avec Axelle Lemaire, le 2 juin 2015

Dans le cadre de la 2ème édition de la "French Touch Conference" qui se tient actuellement à New York, les ministres Emmanuel Macron et Axelle Lemaire ont annoncé les dossiers retenus pour la seconde vague de labellisation "French Tech".

Comme beaucoup, je me réjouis que "Brest Tech +" rejoigne les 9 métropoles déjà labellisées en novembre 2014 (Lille, Lyon, Bordeaux, Toulouse, Aix-Marseille, Grenoble, Nantes, Rennes, Montpellier). 14 candidats étaient en lice pour cette 2ème vague de labellisation.

Parce que le numérique constitue un levier essentiel pour impulser l’économie industrielle digitale de demain, j’ai toujours soutenu la candidature de "Brest Tech +", dans sa première mouture puis dans sa dimension nouvelle sur la base de laquelle les acteurs privés et publics de l’écosystème numérique de la métropole brestoise et des agglomérations de Lannion, Morlaix et Quimper ont décidé d’avancer en commun.

On sait l’intérêt pour la métropole brestoise de bénéficier de cette labellisation. Le numérique constitue en effet un levier essentiel pour impulser l’économie industrielle digitale de demain.

Pour cette raison, nous avions avec François Cuillandre, maire de Brest, et les parlementaire locaux, demandé à pouvoir plaider le dossier "Brest Tech +" auprès de la ministre Axelle Le Maire à Paris (photo ci-dessus).

Car si "Brest Tech +" couvre une population totale de près d’un million d’habitants, elle représente surtout 16 000 emplois, répartis dans 1 620 établissements, sur les filières du numérique (pour 57%), de la mer (pour 22 %), de la banque-assurance (pour 10 %) et sur les filières des transports, de la santé ou des IAA (Industries Agroalimentaires).

Associées avec nos start-up du numérique, les entreprises qui font le tissu économique de nos territoires seront ainsi plus armées pour se confronter à de nouveaux marchés potentiels.

A la clé c’est bien de croissance et d’innovation dont notre territoire bénéficiera.

07/04/2015

Projet de loi Macron : Ce sont bien des conséquences directes sur l’activité qui sont attendues.

300.jpgLe Sénat débute cet après-midi l’examen du projet de loi pour la croissance et l’activité. Qu’il s’agisse de la rénovation de l’actionnariat salarié, de la réforme de l’épargne salariale, de son volet numérique, ce projet de loi a le souci de débloquer le système.

En s’attaquant aux contraintes et aux règles « superflues » qui freinent la croissance et les initiatives individuelles, ce texte vise des conséquences directes sur l’activité. En termes de compétitivité notamment, ce texte répond au besoin de réforme dont notre pays a besoin pour créer des emplois ; qu’il s’agisse des grands groupes, des PME ou des ETI.

Comme beaucoup, je pense que c’est bien au travers d’une compétitivité accrue, pourvoyeuse d’emplois nouveaux, que notre modèle social pourra être préservé. Le souci de la jeunesse et des salariés auquel ce texte s’attache en témoigne bien.